LE PARTICIPE PASSÉ EMPLOYÉ AVEC «PARAÎTRE», «SEMBLER», «RESTER», «DEMEURER», etc.

La règle du participe passé employé avec être est la même pour tous les verbes attributifs (paraître, sembler, rester, demeurer, etc), c'est-à-dire tous les verbes qui donnent au sujet la qualité (l'attribut) qu'on lui accorde. Je suis belle. Le verbe être est donc un verbe attributif, puisque la qualité d'être belle est donnée au sujet «Je». Tous les participes passés de ces verbes s'accordent en genre et en nombre avec le sujet du verbe.

Les dames sont [ravies] de l'aubaine.
Les dames semblent [ravies] de l'aubaine.
Les dames paraissent [ravies] de l'aubaine.
Les dames restent [ravies] de l'aubaine.
Les dames demeurent [ravies] de l'aubaine.

Accorde correctement les participes passé employés avec être, paraître, sembler, etc.

Les premiers soins ont été donné sur les lieux de la catastrophe.
Cette église a été construit en 1854.
Aglaé et Philippe semblaient étonn de la chance qu'ils avaient eue.
À cet endroit, la route était élargi et dégagé.
La soirée était presque fini; Isabelle et Geneviève devenaient plus agit;
Mylène restait étourdi par tout ce qu'elle venait d'apprendre.
Biens qu'ils soient très éloign , les écueils nuisent à la circulation maritime.
Les Lafond-Précourt sont établi dans la région depuis que des routes y ont été trac.
Les terres qui avaient été découvert avaient été offert au roi du Québec.
Matthew et Raphaël semblent engag dans une lutte qui ne prendra fin que par la faillite de l'un d'eux.

Accorde correctement les participes passés avec «être», «paraître», «sembler», etc.

Après une heure de marche à travers champs, Mendel aperçut finalement le ruisseau. Il fut surpri de découvrir qu'une petite fille de son âge était assi sur une roche plate et que ses pieds étaient plong dans l'eau fraîche du cours d'eau. Le garçon était assur qu'elle ne venait pas de son village. La robe dont elle était
vêtu et ses cheveux blonds prouvaient qu'il s'agissait d'une Polonaise du village voisin. Au moment où il s'apprêtait à revenir sur ses pas, la fillette le salua et lui fit signe de s'approcher. Mendel était un peu intimid, mais il prit place auprès d'elle. En quelques minutes, une amitié était n. Des biscuits qui avait été apport par Emma furent partag. Mendel était fascin par l'imagination de sa nouvelle amie. Elle inventait des histoires absolument merveilleuses.

Brusquement, la tranquillité de l'après-midi fut perturb par des cris et des galopades au loin. Une cinquantaine d'hommes qui semblaient excit revenaient de son shtelt. En levant la tête, Mendel avait aperçut une colonne de fumée. Quelque chose brûlait dans son village. Emma avait compris avant lui. Un progrom avait été déclench et la chasse aux Juifs était ouvert. Elle saisit la main de son ami et l'entraîna vers une grange qui était situ à l'extrémité du champ de blé où coulait le ruisseau. Selon elle, les cavaliers allaient venir au ruisseau et Mendel
serait découv et abatt. Il fallait se cacher. Quand ils furent arriv devant la grange, elle lui indiqua l'échelle qui conduisait au grenier. Il devait être cach avant que les hommes ne soient arriv, car ils viendraient nécessairement vérifier si quelqu'un n'y était pas dissimul.