LES SIGNES ORTHOGRAPHIQUES (SUITES)

Cédille, apostrophe et trait d'union

LA CÉDILLE (ç)

La cédille se met sous le «» devant a, o et u. Sinon, on devrait prononcer le son «c» en «k»

CONSIGNE : La lettre qui devrait contenir la cédille dans les mots qui suivent est écrite phonétiquement. Retranscris le mot correctement avec la cédille.

«Déku» --->
«Makon» --->
«Garkon» --->
«fakade» --->

L'APOSTROPHE (')

Nous l'avons vu précédemment : l'apostrophe se place après une consonne pour indiquer l'élision des voyelles «a», «e» ou «i».

CONSINGE : Comment dirait-on les mots suivants si l'on n'utilisait pas l'apostrophe pour élider.

«l'amitié» --->
«la porte d'entrée» --->
«s'il» --->
«l'apostrophe» --->
«l'apôtre» --->
«quoi qu'il dise» --->


LE TRAIT D'UNION (-)

Le trait d'union est utilisé entre les nombres composés inférieurs à cent (quatre-vingts) sauf les nombres qui se terminent par «un»;

CONSIGNE : Inscris les nombres suivants correctement.

18 --->
21 --->
le jeu de carte appelé «21» :
32 --->
43 --->
54 --->
65 --->
76 --->
87 --->
80 --->
98 --->
139 --->
300 --->
623 --->

Le trait d'union est aussi utilisé :

- entre les parties d'un nom ou d'un adjectif composé (Nord-Américain);
- entre le verbe et le pronom dans une phrase interrogative (Vient-elle?);
- entre le pronom personnel et même (moi-même);
- entre ci, là et le nom qui le précède (ce soir-là, ces jours-ci);
- avant et après le «t» euphonique (qu'on place pour que ça se prononce mieux) (répondra-t-il?); répondra-il se dirait très mal;
- entre le pronom personnel et le verbe écrit à l'impératif (ordre) (Donne-lui);
- entre «non» et le nom, mais jamais entre «non» et l'adjectif.

CONSIGNE : Retranscris les phrases suivantes en plaçant des traits d'union là où c'est nécessaire.

Ces jours ci, as tu vu la robe bleu foncé de grand mère?


Y a t il un trait d'union entre les mots vert de gris et vis à vis?


Donne le lui toi même, ce coupe papier couleur arc en ciel.


Viendra t il lui même nous voir dans ce village là le dix neuf juillet deux mille dix sept.


Marie Ève est une non conformiste, c'est à dire qu'elle appuie le non conformisme.